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Culture
Home›Culture›Concert Scherzo Amadeus par Philippe Cassard : un succès complet

Concert Scherzo Amadeus par Philippe Cassard : un succès complet

Par Clara Mure
15 décembre 2013
909
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CassardEn ce vendredi 13 décembre, l’Opéra et Orchestre National de Montpellier (OONM) accueillait au Corum le pianiste renommé Philippe Cassard. Nous avions eu le plaisir de l’entendre accompagner Nathalie Dessay lors de son récital en février 2012, mais cela faisait trente ans qu’il n’avait pas joué seul sur la scène montpelliéraine. C’est donc avec émotion qu’il nous présentait son programme : Chopin, Fauré et Schubert, en hommage à trois figures de la mélancolie.

Retour sur l’artiste

Philippe Cassard est considéré par ses pairs, la critique et le public comme un des musiciens les plus attachants et complets de sa génération. Il a été formé par Dominique Merlet et Geneviève Joy-Dutilleux au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Il y a obtenu en 1982 les premiers prix de piano et de musique de chambre. Puis il parfait sa formation musicale à la Hochschule für Musik de Vienne où il recueille les conseils de Nikita Magaloff. Et c’est en 1988 qu’il a remporté le premier prix du concours international de piano de Dublin. Mais en plus d’être un artiste estimé, c’est un directeur artistique reconnu. En effet, Philippe Cassard a fondé Les Estivales de Gerberoy en 1997, mais il a également dirigé, de 1999 à 2008, Les Nuits Romantiques du Lac du Bourget. En 1999, il a été fait Chevalier de l’Ordre National du Mérite.

Concernant les trois compositeurs présents dans le programme de cette soirée de décembre, il a toujours montré un intérêt particulier pour ces illustres personnages. En effet, à partir de 1993, Philippe Cassard présente le cycle intégral de l’œuvre pour piano de Debussy en une journée et quatre concerts, et il consacrera au sein d’une discographie riche de 25 titres de nombreux enregistrements de Schubert salués dans le monde entier. Il appréciera d’ailleurs son œuvre dans un essai intitulé Franz Schubert publié chez Actes Sud en 2008.

C’est en pédagogue accessible que nous pouvons le retrouver, depuis 2005, chaque mercredi de 10h à 12h sur France Musique expliquer les œuvres pour piano dans « Notes du traducteur ». Car comme le dit Jean-Paul Scarpitta, directeur général de l’OONM jusqu’en juillet 2014, dans son édito du programme, Philippe Cassard est « avant tout l’homme tourné vers les artistes ».

Retour sur la performance

C’est par l’œuvre de Frédéric Chopin que ce concert a commencé avec un morceau intitulé Nocturne n°1, suivi de l’Impromptu n°2, puis la Berceuse et pour terminer cette ballade romanesque, la Barcarolle. Le directeur général soulevait avec justesse : « Sa connaissance de Chopin, mieux sa connivence avec lui, se hausse à une forme très singulière, poétique et divine, venue d’ailleurs. » En effet, de par son interprétation très émouvante de ces œuvres, il parvient à nous imprégner du romantisme du compositeur polonais Fryderyk Franciszek Chopin en rendant son expression toujours plus subtile, ce qui a le mérite de rendre à l’ensemble un charme de sonorité unique.

Sa performance se poursuit après une première ovation du public par l’œuvre de Gabriel Fauré. Tout d’abord avec le morceau Nocturne n°2, suivi de Nocturne n°11 et se terminant par l’Impromptu n°3. Il adopte ainsi un style élégant à la française pour aborder l’œuvre de l’un des plus grands musiciens français de la fin du XIXe et du début du XXe siècle. Cette deuxième prestation fut accueillie par le public avec autant d’enthousiasme que la première tant pour l’originalité du langage harmonique propre à Fauré que pour la finesse et l’équilibre parfaitement retranscrits de ces compositions.

C’est sur l’œuvre du compositeur autrichien Franz Schubert que s’est terminé ce concert avec le Sonate n°20 pour piano en quatre temps : Allegro, Andantino, Scherzo et Rondo. Cette œuvre puissante et subtile à la fois a eu pour mérite de toucher chaque spectateur au plus profond de sa sensibilité. La vivacité avec laquelle Philippe Cassard a abordé ce dernier morceau témoigne de son attache particulière au compositeur reconnu dans le monde entier : Franz Schubert qui est bien celui, selon l’épitaphe du poète Grillparzer, qui « fit chanter la poésie et parler la musique ».

Cassard

(Crédit photo : © Clara Mure)

Trois rappels témoignant de la générosité de Philippe Cassard

À la fin de son récital, Philippe Cassard a été acclamé par tout le public, les premiers rangs lui lançant même des roses sur scène. Et c’est ému et honoré qu’il est revenu pour un premier rappel avec l’Impromptu de Schubert, suivi du second rappel avec La valse de Chopin où il témoigna d’une complicité avec les spectateurs de la salle Pasteur indéniablement remplie d’adorateurs de l’œuvre de Philippe Cassard. Et c’est en remerciement de cet intérêt certain qu’il proposa un dernier morceau « pour la route » qui fut, après une seconde de réflexion, Le petit Berger de Claude Debussy. C’est sur ces notes douces et enivrantes qu’il quitta la scène montpelliéraine, ses roses à la main, ému et touché par ce récital chargé d’émotions.

(Crédit photo de une : © Opéra et orchestre National de Montpellier)

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TagsAllegroAndantinoChopinDebussyDominique MerletFauréGeneviève Joy-DutilleuxHochschule für MusikJean-Paul ScarpittaLes Estivales de GerberoyMontpellierMusiqueNikita MagaloffOpéra et orchestre national de MontpellierPhilippe CassardpianoRondoScherzoSchubertslider
Clara Mure

Clara Mure

Étudiante en Licence 2 Science Politique à la faculté de Droit et de Science Politique de l'UM1.

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La dernière réponse date d'22 décembre 2013
  1. AvatarBernard Rechatin
    Vue / Voir 22 décembre 2013

    Le programme de ce récital de Philippe Cassard n’était pas d’un abord très facile. Les pièces de Chopin et de Fauré ne sont pas des plus connues. Quant à la sonate de Schubert qui est un “morceau de choix” elle n’est pas facilement accessible non plus, d’emblée, à toutes les oreilles (à l’exception cependant du second mouvement si mélancolique). Le public, très enthousiaste a, en effet, su faire un accueil méritoire au pianiste. Pour ma part, j’ai été surtout marqué par la réflexion de mon voisin, un jeune garçon d’une dizaine d’années, qui après les pièces de Chopin trouvait que l’interprète insistait beaucoup sur la main gauche. Et il n’avait (mon voisin) pas tout à fait tord : une belle oreille !

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