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Culture
Home›Culture›EFIX : Un DJ pas comme les autres

EFIX : Un DJ pas comme les autres

Par Thomas Ribreau
4 janvier 2014
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Casquette vissée sur la tête, skateboard sous le bras, et le smile jusqu’aux oreilles : c’est à la place Jean Jaurès que nous avons rencontré EFIX. Musique, graphisme, jeux vidéo, EFIX est un artiste aux multiples facettes. Rencontre avec ce DJ montpelliérain.

Bonjour EFIX, peux-tu te présenter en quelques mots à tous les lecteurs qui ne te connaissent pas ?

Je m’appelle EFIX, j’ai 23 ans et je vis à Montpellier. Cela fait 10 ans que je fais du son et je suis DJ résident à la radio RTS. Depuis un an, je mets mes productions sur internet. Je voulais simplement voir comment mes sons allaient être accueillis et pour le moment, c’est plutôt positif. À côté de ça, je vis aussi du graphisme en faisant du dessin et du street art.

As-tu fais des études après ton Bac ?

En sortant du Bac, j’ai fait une MANAA (Mise à niveau en arts appliqués) à l’École supérieure des métiers artistiques de Montpellier. J’ai vite arrêté cette formation car les professeurs m’ennuyaient. Par la suite, j’ai fait une école de son à Lyon, l’UCPA, pendant trois ans. J’ai pu apprendre et me perfectionner aux différentes techniques du mix. On pourrait dire que j’ai un « mini » diplôme d’ingénieur du son. (rires)

Comment est née l’idée de faire de la musique électronique ?

Je mixe depuis que j’ai 13 ans. Je mixais uniquement de la musique électronique. À partir de 17 ans, j’ai découvert la « vraie musique », c’est-à-dire le blues, le jazz… et c’est là que j’ai eu l’envie de croiser la musique acoustique avec la musique électronique.

Quelles sont tes références musicales ?

En musique électronique, j’apprécie Jan Blomqvist et beaucoup de DJs français comme N’to, Worakls, ou encore Joachim Pastor. J’aime bien aussi le Kollektiv Turmstrasse, mais c’est beaucoup plus électronique que les précédents. Sinon, dans la vie de tous les jours, j’écoute des vieux morceaux de jazz comme Otis Redding. Mais je suis ouvert à d’autres styles musicaux, il m’arrive d’écouter du hip-hop.

Comment ça se passe les créations musicales « à la EFIX » ? Es-tu assidu dans ton travail ou travailles-tu en fonction de ton humeur ?

J’essaye de bosser 8 heures par jour environ. Si tu ne travailles pas, tu ne réussis pas. Pour moi, le talent c’est environ 10% et le reste c’est du travail. Le talent, tu l’as ou tu ne l’as pas. Mais dans tout les cas je pense que si tu travailles, il est possible de l’acquérir. Pour ce qui est de la création, je suis en train de monter un studio dans mon appartement. Mais pour le moment, je fais mes sons sur mon ordinateur et après j’ai mon guitariste qui possède un studio, chez qui je vais pour faire le mixage des sons.

As-tu des labels qui t’ont approché pour te faire signer ?

Oui, il y a eu des approches de la part de certains bons labels mais pour le moment, avec mon manager, on préfère attendre qu’un « gros » label se manifeste, du style Délicieuse Musique en France ou Stil Vor Talent en Allemagne.

J’ai vu que tu avais fait une tournée internationale en octobre (Espagne, Mexique, Oman, États-Unis…). Peux-tu nous en dire quelques mots ?

Par l’intermédiaire de SoundCloud, j’ai rencontré beaucoup de personnes qui appréciaient mon travail et avec qui j’ai pu échanger sur la musique. Certains m’ont proposé de venir et mon agent a géré la suite des événements. La tournée était vraiment cool même si je n’ai pas eu le temps de visiter les pays. Au niveau humain, c’était énorme : j’ai rencontré de nouvelles personnes, de nouvelles cultures. En quelque sorte, je n’ai rien demandé à personne et du jour au lendemain, je me retrouve dans le désert à Oman pour mixer et je « kiffe » (rires). C’était vraiment génial.

As-tu une anecdote d’une soirée « croustillante » à nous raconter ?

Oui, il y en a une plutôt marrante : tous les dimanches de chaque été, je mixe sur le toit d’un immeuble au Cap pour des soirées échangistes. Donc c’est un peu chaud dans le public mais c’est plutôt amusant à faire, et en anecdote de soirée croustillante je ne peux pas faire mieux. (rires)

Tu travailles beaucoup avec un certain FLINT ? Comment l’as-tu rencontré ?

FLINT, je l’avais en ami sur Facebook mais je ne l’avais jamais vraiment trop rencontré. Un jour, on a commencé a parler et on a décidé de faire un son ensemble alors que l’on ne s’était jamais vus. Il est venu pour la première fois sur Montpellier il y a environ un mois. C’était un peu bizarre, on s’était parlés pendant des heures via Facebook et Skype, et là on se retrouvait comme deux amoureux à un rencard. On était tout gênés. C’était plutôt drôle (rires). Dans tous les cas, pour ceux qui ne le connaissent pas, il est très bon et il faut suivre ce qu’il fait car d’ici quelques années, on parlera de lui.

Étant donné que tu définis ton style musical comme de la deep house, quel regard portes-tu sur ce phénomène musical dont tout le monde parle aujourd’hui grâce notamment à Bakermat ?

C’est vrai qu’à chaque soirée ou je mixe, on me demande de mettre un son de Bakermat. D’un côté, c’est quelqu’un que je respecte énormément car il a su créer un mouvement grâce à sa musique basée essentiellement sur le saxophone. C’est vraiment un DJ qui peut plaire à tout le monde et il a apporté beaucoup pour de nombreux DJs – comme moi – qui se sont lancés dans la deep. Cependant, le fait qu’il passe à la radio, ça m’ennuie un peu. Lorsque l’on est « précurseur » et qu’on lance un mouvement, je pense qu’il ne faut pas signer sur un major et donc ne pas passer en radio (à l’image de Nicolas Jaar). Mais lorsque je l’ai rencontré, j’ai compris qu’il voulait que ça marche pour lui et que sa musique soit écoutée par le plus grand nombre. C’est un choix.

As-tu un coup de cœur musical en ce moment, des artistes peu connus à faire connaître ?

Mon gros coup de cœur musical en ce moment, ce serait David K – Meet You.

En plus de la musique, tu es très bon en dessin et plus particulièrement en graphisme ?

En général, je fais mes dessins à l’ordinateur et le temps de conception varie. Pour celui de Madiba, j’ai mis environ 12 heures. Par contre, pour celui de Notorious B.I.G., j’en ai eu pour 28 heures. Mais à côté de mes propres dessins, je travaille sur d’autres projets. J’ai travaillé pour des films comme Battle of The Year (sorti en salles le 13 novembre dernier, ndlr). C’est un film sur le hip-hop avec Chris Brown et j’ai fait les graphismes pour le film lorsqu’il a été tourné à Montpellier il y a environ deux ans. Je travaille aussi pour Universal où je fais des pochettes d’album. À côté de tout ça, j’essaye aussi de monter un petit jeu vidéo. Ce serait une sorte d’application pour Facebook, mais ça c’est un scoop car peu de personnes dans mon entourage le savent.

EFIX

(Crédit Photo : © EFIX)

Quoi de prévu  pour l’année 2014 ?

Je vais travailler avec quelques artistes mais je ne peux pas en dire plus tant que rien n’est fait (rires). Après, j’ai envie de faire quelques remix de certains artistes sur mes prochains sets. En échange, l’idéal ce serait que ces artistes remixent mes sons pour que ça me donne plus de visibilité. Dans tous les cas, il y aura une soirée deep house en début d’année sur Montpellier (courant février, ndlr). Et naturellement, vous êtes les bienvenus.

 

EFIX – Mad World

 

(Crédit photo de Une : © EFIX)

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La dernière réponse date d'12 mars 2014
  1. AvatarPierre Boix
    Vue / Voir 12 mars 2014

    Génial EFIX !
    J’adore la comptine 😉
    N’hésite pas à passer sur ma page quand tu as 5 minutes 🙂
    Pierre

    Répondre

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