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Culture
Home›Culture›Festival Katrinesk : de l’art alternatif, en veux-tu en voilà !

Festival Katrinesk : de l’art alternatif, en veux-tu en voilà !

Par Johane Gély
23 avril 2014
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La Compagnie Katrinesk, fondée en 2009, a eu la charmante idée d’organiser son tout premier festival « multi-artistique ». Essentiellement centré sur toutes les formes d’art du spectacle vivant, il n’en demeure pas moins pluridisciplinaire : des expositions, des lectures, des performances, des courts-métrages, du théâtre, des jeux… Et tout cela au sein de l’envoûtante Villa des Cent Regards.

Festival Katrinesk

Crédit photo : © Johane Gély

Un autre univers

Bienvenue dans le monde loufoque de la Compagnie Katrinesk : des lapins fous qui se cachent un peu partout dans la Villa, des têtes de poupons suspendues dans les arbres, un jeu de cartes qui vous permet de retrouver votre moitié, pour partager… une bière ! Et bien d’autres choses sont proposées à l’accueil de l’événement.

C’est aux alentours de 11 heures que le festival a débuté sous de doux rayons de soleil, mais pas un instant de répit pour les organisateurs et les bénévoles qui avaient concocté de multiples activités car, pour les festivaliers, impossible de s’ennuyer. De l’action tout au long de la journée, il y en avait pour les goûts de chacun comme la lecture participative de Marie Marin où l’auditoire avait mainmise sur la suite de l’aventure érotique – voire pornographique – des protagonistes. Et tout cela sur le chaleureux toit de la Villa des Cent Regards.

Festival Katrinesk

Crédit photo : © Johane Gély

Dans un autre registre, « l’atelier-show » des Madeleine sérigraphie, deux jeunes femmes typiquement kitch à l’accent pointu, initiaient le public à cette pratique, offrant un relookage total de vieux t-shirts, une personnalisation de sacs en toile et même, pour les plus audacieux, de se tatouer une partie du corps à la peinture…

Au Festival Katrinesk, on ne sait plus ou donner de la tête, tout s’enchaîne. Place à des courts-métrages surprenants avec présentation des réalisateurs, pour la plupart étudiants, qui méritent une attention particulière. D’une histoire à l’allure glauque qui possède une profondeur relationnelle (court-métrage Résonances de Quentin Dufournet et Julien Prévost), à une animation farfelue dont les traits des personnages relèvent d’une imagination débordante (« Cactus Boy » de Nils Bertho), quelques minutes suffisent à susciter de multiples émotions.

Festival Katrinesk

Crédit photo : © Johane Gély

Malgré de courtes pauses, s’en sont suivis d’autres événements, notamment une belle prestation théâtrale de Kacim Herzi intitulée « Une petite dose d’ultra Florence », un véritable « monologue extérieur » auquel on ne peut décrocher tant le texte est prenant car chacun peut s’y reconnaître. En effet, cette première représentation de l’artiste fait cogiter sur sa propre sexualité, et sur la place de l’homme et de la femme dans la société. Cette fameuse Florence fait valser les stéréotypes, et donne un coup de pied bien placé aux plus gros machos. Entre réflexions personnelles et jeu avec le public, Florence se meut et se métamorphose en rythme.

En parallèle, des performances de graffeurs et d’un peintre ne semblaient plus s’arrêter dans leur processus de création. Ainsi, au fil du temps, tout prenait forme sous les yeux des festivaliers qui pouvaient observer l’ouvrage, tout en prêtant oreille attentive aux concerts proposés sur le lieu.

Festival Katrinesk

Crédit photo : © Johane Gély

Une première édition, et probablement pas la dernière !

La Compagnie Katrinesk s’est démenée durant six mois pour que ce festival voie le jour. Avec comme point fort la pluridisciplinarité de la troupe, c’est essentiellement le bouche à oreille qui a permis d’entraîner d’autres personnes dans la construction de ce festival, sans évoquer la participation d’un bon nombre de bénévoles. Et quelle heureuse idée d’organiser cet événement à la Villa des Cent Regards, un lieu atypique où des expositions permanentes s’accordaient à merveille à la manifestation.

Le Festival Katrinesk a su se distinguer de toute autre démarche artistique montpelliéraine en mêlant différents types d’art, il n’y a donc pas à se soucier de son avenir.

Festival Katrinesk

Crédit photo : © Johane Gély

 

Site officiel : Katrinesk.fr

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Tagsartcinémacourt-métrageétudiantfestivalgraffitiJulien PrévostkatrineskMadeleine sérigraphieMarie MarinMontpellierNils BerthoperformancesQuentin Dufournetsliderspectaclethéâtrevilla des cent regards
Johane Gély

Johane Gély

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