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Home›Politique›Vie locale›Cédric de Saint Jouan : “Une rencontre humaine avec Philippe Saurel”

Cédric de Saint Jouan : “Une rencontre humaine avec Philippe Saurel”

Par Audrey Villate
1 décembre 2014
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Saint Jouan

(Crédit Photo : © Audrey Villate)

Le Nouveau Montpellier est allé à la rencontre de Cédric de Saint Jouan, adjoint au maire chargé de la culture, des archives, de l’innovation numérique et de la culture scientifique et technique. L’occasion de revenir sur son entrée en fonction, l’actualité culturelle de la ville et sur les perspectives envisagées par la municipalité.

Le Nouveau Montpellier : Vous êtes entrepreneur dans les énergies renouvelables, que faites-vous à la culture ?

Cédric de Saint Jouan : (rires) Qu’est-ce que je fais à la culture ? Je ne fais pas que des énergies renouvelables, j’ai aussi produit un film au cinéma qui s’appelait Et si on vivait tous ensemble, avec Jane Fonda, Claude Rich, Guy Bedos, Pierre Richard et Daniel Brühl qui a joué dans Good Bye, Lenin ! et Inglourious Basterds. Je joue de la guitare et du piano sans prétention. Je m’intéresse beaucoup à l’histoire, au patrimoine, après ce sont des sensibilités. Je travaille dans un secteur, le secteur des énergies renouvelables, qui est un secteur de passionné. Tous ont créé leur boîte, ce sont des gens qui ne sont pas allés là par hasard. C’est qu’il y a adhésion. C’est quelque chose qu’on retrouve dans l’art aussi. Les gens qui sont dans des métiers artistiques et qui font de la création artistique, c’est un choix personnel, un choix de passionné. Donc il y a quand même quelques points communs. Ce n’est pas complètement incohérent.

Beaucoup de gens se demandent comment cela s’est fait en quelques jours à peine : vous rencontrez Philippe Saurel et vous êtes sur sa liste pour les municipales.

Il y a eu une rencontre humaine entre Philippe et moi. Moi, ce qui m’a impressionné quand je l’ai croisé, c’était déjà le courage qu’il a eu de s’opposer à une machine de guerre socialiste. Pas que j’en veuille aux socialistes… C’est le fait de s’opposer à une certaine évidence, à une certaine logique qui est écrasante et de rentrer dans un rapport de faible à fort. Quand j’ai développé mes éoliennes en 2000, que EDF cherchait à nous écraser, que le gouvernement faisait un pas en avant, trois pas en arrière, ce rapport du faible au fort, je l’avais vécu, j’ai eu de l’empathie pour sa démarche.

La deuxième chose que j’ai vue, c’est que s’il était élu, on aurait une des dix grandes villes de France qui ne serait pas gérée par un parti politique. Et ça, ce n’est pas arrivé depuis la Seconde Guerre mondiale. C’est une vraie révolution. Ça a été un peu occulté alors que, pour moi, on a apporté une vraie alternative aux partis dans des valeurs de démocratie. Je ne sais pas si c’est purement local avec un contexte de succession de Georges Frêche ou si c’est une aspiration qui est plus globale. On dépasse le clivage gauche-droite dans lequel plus personne ne se reconnait.

C’est aussi le choix de Jean-Pierre Moure qui n’a pas suscité d’adhésion…

C’est aussi le Parti socialiste qui n’a pas su choisir son leader. Ils auraient choisi Philippe Saurel, ça aurait été réglé. La politique, ce n’est pas quelque chose de rationnel. Pour les cantonales, la proposition qui a été faite était intéressante pour le parti dans son ensemble. Individuellement, elle n’était pas intéressante. Enfin, peut-être pour certains. Voilà, c’est là où la politique n’est pas toujours rationnelle.

Et la politique culturelle de la ville, vous l’abordez comment à présent ?

Il faut savoir de quoi on parle. Il faut faire l’état des lieux. L’état des lieux, c’est quoi ? C’est que Georges Frêche a développé la culture autour de quatre pôles majeurs qui sont Montpellier Danse, le Festival de Radio France, l’Orchestre et le Musée Fabre. Après, dans les années 2000 se sont développées plein, plein de choses. Des petits festivals qui sont devenus gros comme le Cinemed, on a eu les ZAT… Aujourd’hui, c’est foisonnant la culture à Montpellier. C’est l’un des grands attraits de Montpellier ! À part le climat, c’est le sport et la culture. Cela s’est développé de façon un peu spontanée, c’est extraordinaire. On le voit sur l’héritage, Sainte-Anne on est contents de l’avoir, l’Agora des Savoirs on est contents de l’avoir, le Musée Fabre c’est quand même une belle réussite. La question, pour nous, c’est de coordonner tout ça. C’est de le reprendre, de le réorienter parfois pour donner des perspectives.

Le théâtre, par exemple. On a vu qu’autrefois, il y avait des directeurs de théâtres qui étaient là depuis des années, chacun avait sa programmation dans son coin, ça manquait de coordination. Là, on commence à avoir Rodrigo Garcia avec HTH avec des troupes à un niveau international, La Vignette qui fait un théâtre peut-être plus expérimental, à Jean-Vilar ça soutient les compagnies locales. Voilà, on commence à avoir une coordination de l’offre culturelle. Le but n’est pas de faire de grands chantiers, c’est juste de remettre des perspectives. Dans l’art contemporain, c’est pareil. C’est faire le Centre d’Art Contemporain, revoir le positionnement de la Panacée, Sainte-Anne qui s’inscrit dedans. Comment on intègre les Beaux-Arts ? Et les galeries associatives et professionnelles ? En gros, c’est de repenser les choses et de réorganiser. Pour l’instant, on s’imprègne.

La deuxième mission, c’est quand même de soutenir les acteurs culturels. Je dirais même : la mission principale, c’est de soutenir les acteurs culturels en matière de création sur Montpellier. C’est le premier budget de la ville, la ligne pour les subventions. On subventionne près de 300 associations sur 500 ou 600 demandes. Moi, il faut que je rencontre tout le monde pour savoir ce qu’il y a derrière cet argent, que je me fasse ma propre opinion, ça prend du temps. 300 associations, si vous en voyez une par jour, ça fait 300 jours. Il faut minimum une heure. Ce travail-là, c’est un travail de fond mais qui est nécessaire.

Vous aviez conscience de tout ça avant de vous engager ?

Je n’ai pas eu le temps d’y penser avant, parce c’est venu très vite en fait. J’ai suivi Philippe, je n’avais pas d’arrière-pensées.

Vous saviez qu’il vous destinait à la culture ?

Non. Il me l’a proposé, je ne sais pas si lui le savait non plus. On était dans le combat. Quand le combat est fini, vite, il faut qu’il se décide. Ça s’est fait rapidement, il m’a proposé et moi j’étais ravi parce que j’aime bien l’art. Ma grand-mère était peintre, elle a exposé au Japon, en France. Moi je fais de la musique, du cinéma… On voit des gens qui sont passionnés, ce n’est pas toujours facile mais ça bouge. C’est un secteur assez dépendant des subventions, alors il y a beaucoup d’attentes. Les artistes, les associations… Ce sont des gens qui donnent beaucoup.

Vous avez semblé assez critique par rapport à certains événements de la ville, notamment les Internationales de la Guitare et le Cinemed. On peut revenir là-dessus ? Rappelons que vous avez été pris à parti par Henri Talvat lors de la clôture du festival.

Le cinéma, c’est un secteur que je connais bien. J’ai une vision économique de la chose. Pour moi, un festival, ce n’est pas uniquement une programmation. C’est aussi un rendez-vous qui doit permettre aux acteurs de la filière de se rencontrer et de développer des choses.

C’est ce qui n’est pas assez présent au Cinemed ?

Ça pourrait être plus. Les points positifs, c’est que la direction artistique est la bonne. En plus, faire un festival sur le cinéma méditerranéen à Montpellier, c’est tout à fait cohérent. Il y a un public, il y a de la qualité. Je pense que cette année, on a eu de la qualité. Peut-être plus que les autres années encore. C’est quand même un festival qui est soutenu par le CNC. C’est quand même un festival qui a des billes. Je vais être dur mais je ne m’en contente pas. On n’est pas là à se regarder le nombril, à se dire « on est beaux » entre nous. On peut le faire mais on peut aussi faire mieux. La question, c’est comment on peut développer et faire plus. Il y a quand même beaucoup de moyens dans ce festival. Je parle de la ville, de l’agglo et dans une moindre mesure de la région. Ce sont des dossiers qui se gèrent avec l’agglo et la région, ce n’est pas que la mairie qui décide. Ce n’est pas une critique destructive. Quand on ne dit pas que c’est bien, on inquiète, on a des réactions de peur. Je trouve que le fait qu’on ait un festival de cinéma, c’est une superbe vitrine. Il faut le garder, il faut le continuer, l’améliorer comme tout !

Saint Jouan

(Crédit Photo : © Another Hero)

Vous vous êtes intéressé au cinéma à Montpellier ?

J’ai rencontré toutes les salles. La ville a une salle de cinéma avec Nestor Burma. J’ai rencontré les gens du Diago, les gens du Gaumont. Ils sont tous volontaires pour participer, même ceux du Gaumont Odysseum.

Mais est-ce que vous savez qu’à Montpellier, on a quand même deux éditeurs de DVD, Artus Films et Le Chat qui Fume ?

J’en ai entendu parler, mais je ne les ai pas encore rencontrés.

On est aussi une des villes les plus productrices de web-séries en France…

Ah oui ?

Avec des web-séries comme Mordred, Exultet, Another Hero… Et ces séries ne sont pas subventionnées.

Nous, on subventionne les associations sur leur fonctionnement, sur les projets. Ce qu’on appelle un projet, ce n’est pas un projet de création mais par exemple un projet de festival ou de production. C’est par exemple un studio d’animation 3D. Il y en a beaucoup, des studios de 3D, sauf qu’ils font une technologie propriétaire. Et ça, des propriétaires, il y en a quatre, cinq dans le monde. On a le Festival du Court, les films tournés en 48 heures. D’après Languedoc-Roussillon Cinéma, il y a 500 techniciens qui travaillent dans l’audiovisuel à Montpellier. C’est ça qu’il faut fédérer. Il y a des boîtes de production comme In the Mood qui font des choses, même si c’est petit.

Les réalisateurs aussi ? Ceux qui font leurs films tous seuls à Montpellier, en autoproduit comme Frédéric Grousset avec « Bad Trip 3D » ?

Non, je n’en ai pas entendu parler…

Il est passé en festival, mais pas à Montpellier. Et il a tourné ça ici avec des acteurs montpelliérains, notamment Julien Masdoua de la Compagnie du Capitaine et d’autres membres de la troupe.

Julien Masdoua, lui, oui je le connais bien. Il joue dedans ?

Un premier rôle. Il y a beaucoup de réalisateurs dans cette situation.

Il faut fédérer, il leur faut des caisses de résonance. Il faut des choses qui les mettent en valeur. Une mission du Cinemed, ce serait de mettre en valeur ces gens-là. Du Cinemed ou d’autres événements, ce n’est pas uniquement au Cinemed de faire ça. Il y a le Languedoc Cinéma, le bureau des tournages à la mairie, Cinemed… Il y a des choses, il y a d’autres festivals, il y a un dispositif. Pour moi qui suis très sensible au développement économique et surtout à la création entrepreneuriale, les collectivités ne peuvent pas tout faire. Il faut des caisses de résonance pour que ces initiatives-là puissent déboucher sur autre chose. Si l’on fait ça, je serai complètement satisfait.

Comment comptez-vous mettre en place cela ? Je connais quelques-uns de ces réalisateurs et ils se sentent relativement seuls et font leurs films sur leurs propres deniers.

Je le sais bien, ça on ne pourra pas le changer. Par contre, ce qu’on pourra changer, c’est de mettre en relation les gens intéressés, de créer des rendez-vous. Ce n’est pas forcément un marché mais c’est un rendez-vous. On doit mettre en valeur les personnes pour qu’elles aient des connexions.

Parlons de la techno à présent. C’est assez problématique à Montpellier, avec les menaces sur Family Piknik ou Tohu-Bohu.

Là encore, le maire n’est pas du tout contre la techno. Moi non plus, absolument pas. Tohu-Bohu, ce qu’il se passe c’est qu’ils étaient Place Dionysos, ils avaient une jauge trop petite. Le lendemain, il y a eu… (il s’interrompt) Ce n’était pas niquel. Cette année, ils ont été accueillis par le Rockstore. Pour l’an prochain, on l’a dit, on va s’engager à trouver un lieu en plein air pour que Tohu-Bohu puisse se jouer en plein air.

Déjà des idées de lieux ?

Je ne sais plus, il y a des choses qui ont été mentionnées mais je ne peux pas vous dire. C’est en discussion.

Et pour Family Piknik ? Où Philippe Saurel disait que les gens n’y fumaient pas que de la menthe…

C’est de la rhétorique, ça. Je pense que Family Piknik, le faire à Grammont, ce n’était pas le bon endroit. Cela a été accepté avant les élections pour des raisons… voilà. Ce n’était pas le bon endroit parce que la pelouse de Grammont, ce n’est pas fait pour ça. Ça flingue tout. Philippe Saurel n’était pas content de ça, les gens l’ont pris pour eux alors que ce n’était pas pour eux, c’était une question d’organisation. C’est quand même une sauce qui est montée sur pas grand-chose, plus sur des questions de forme que sur des questions de fond. Il n’y a pas d’attaque à la techno, il n’y a pas de volonté d’arrêter la techno, au contraire. Il y a un festival qui s’appelle I Love Techno.

Oui, mais I Love Techno est concentré sur le Parc des Expositions. Il y a eu une campagne d’affichage encourageant au silence, certains y ont vu une volonté de « bobo-iser » le centre-ville, mettant à l’écart les festivals techno qui sont plus jeunes que l’opéra et l’orchestre de Montpellier par exemple.

Oui c’est vrai, mais on a des parades dans le centre-ville, il se passe tout le temps quelque chose sur l’Esplanade. On peut le voir comme ça mais ce n’est pas conforme à la volonté de la ville.

Saint Jouan

Cédric de Saint Jouan avec l’artiste Marc Bouchacourt lors d’un vernissage (Crédit Photo : © Audrey Villate)

Concernant le musée du souvenir de l’Algérie, cela va devenir un musée d’art contemporain ?

Un centre d’art contemporain oui.

Ça ne va pas faire double emploi par rapport à la Panacée ?

Non, parce que c’est comme ce que j’expliquais pour le théâtre, le but c’est de réorganiser tout l’art contemporain dans Montpellier avec différents lieux, qui auront différentes missions pour faire un dispositif concret et pour créer une dynamique. Ce n’est pas un lieu qui crée une dynamique, c’est un lieu qui s’additionne à autre chose. Le centre va faire des expositions, la Panacée c’est un lieu de création, de production d’art contemporain qui met en valeur des acteurs locaux. On va avoir aussi Sainte-Anne qui sera un centre d’exposition et d’installations contemporaines. On a le Pavillon Populaire qui est spécialisé dans la photographie. Il y a toutes les galeries associatives comme le centre d’art La Fenêtre. Tout ça, ça va redonner une perspective. On ne va pas avoir le centre d’art contemporain qui va écraser les autres lieux.

C’est donc votre stratégie pour faire de la culture un pilier à Montpellier ?

C’est le but. Les axes, c’est garder la qualité mais que ça reste populaire. Tous les lieux d’exposition sont gratuits : la Panacée c’est gratuit, Sainte-Anne c’est gratuit, le Pavillon Populaire c’est gratuit. On va aussi travailler autour de la danse. Ce sont deux fers de lance, l’art contemporain et la danse.

Et une mise à l’écart de l’opéra et de l’orchestre ?

Non, c’est complémentaire. Tout se tient.

Parce que l’opéra est en perte de vitesse niveau fréquentation…

Oui, ça ne va pas fort. L’opéra, c’est compliqué parce qu’il est lié au festival de Radio France, il est lié au Conservatoire. Tout ça, c’est un triptyque. Si l’on bouge d’un côté, si on enlève une pièce, il faut que tout le reste retrouve son équilibre. Ce ne sont pas des choses qui se décident du jour au lendemain parce que ce sont des choses bâties les unes en fonction des autres.

Vous pensez que la collaboration sera plus facile avec Valérie Chevalier que ce qu’elle aurait pu être avec Jean-Paul Scarpitta ?

Je pense qu’on ne peut pas demander à une personne d’être un directeur artistique hors pair, un manager hors pair et un administrateur hors pair.

Il faut trois têtes ?

Pas forcément, mais ce que je veux dire c’est que c’est compliqué. Pendant longtemps, on n’a pas voulu regarder ce qu’il s’y passait. Ce que je dis, c’est qu’on s’est reposé sur les directeurs. Je pense qu’aujourd’hui, les collectivités sont vraiment à l’écoute, elles se penchent sur le dossier. Elles sont derrière, elles sont attentives. Avant, ce n’était pas facile de bouger parce qu’on était toujours en élections.

Là, il va y avoir les cantonales qui vont arriver…

Oui, c’est vrai. Mais il faut savoir que l’orchestre, c’est surtout l’agglo qui gère ça, c’est surtout un dossier agglo. La région s’est un peu retirée, le conseil général s’est retiré. Je suis au conseil d’administration en tant que propriétaire des murs. Aujourd’hui, on est dans une situation où la ville et l’agglo, ça marche ensemble.

C’est pratique quand c’est la même personne à la tête des deux.

Ça aide.

La mairie étant propriétaire des murs de l’Opéra Comédie, compte-t-elle faire passer un jour le lieu en monument historique vu que ce n’est pas encore le cas ?

Je ne sais pas, ce n’est pas le dossier en ce moment.

Parce que les travaux qui ont eu lieu dedans, ils n’auraient pas été possibles si le bâtiment était classé…

C’est possible, c’est peut-être pour ça que ça ne l’est pas.

 

(Crédit photo de Une : © Audrey Villate)

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Audrey Villate

Audrey Villate

Touche à tout au sein de Le Nouveau Montpellier mais avec un faible marqué pour la culture. Avant tout théâtreuse occasionnelle mais passionnée, curieuse et assoiffée d’éclectisme.

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